Donc la voici préparez vous au pire :
oui, c'est consternant...
Explication de texte : http://blog.matoo.net/index.php/archives/2007/10/13/les-meilleures-repliques-de-drucilla-fleishman/
P.S. Nous ne nous étendrons pas sur la capacité de votre serviteur à chanter (beugler ?) l'alleluia de Buckley dans les rues à 5 heures de matin... (mais je tiens à préciser que je n'étais pas tout seul !! n'est ce pas F... ?)
EDIT (02 novembre 07)
un résumé moins abstrait de ce we est disponible ici (Matoo étant bavard il y a plusieurs posts cherchez bien !) ou là
Si vous n'avez pas vu la brève passer dans vos agrégateurs respectifs (si vous n'avez pas d'agrégateur ou pire que vous ne savez pas ce que c'est je ne peux rien pour vous, sauf vous conseiller netvibes...), J.K. Rowling a outé Dumbeldore ! Et donc depuis quelques jours, lorsque je croise dans le métro un lecteur avide des aventures de Howgarts, je ne peux m'empêcher de penser à des blagues pourries sur Dumbeldore et sa puissante baguette magique... "regarde Harry, sans les mains !!"... je décline la plaisanterie sur la taille de la baguette sur la puissance des sorts... tout ça quoi ! Et je dois avouer que je rigole bien tout seul !! ;-)
Je vais bien merci !! ;-) non je n'ai pas envie d'être insulté sur mon blog pour publication d'images indécentes mais je ne pouvais résister au plaisir de vous montrer mes petits petons sur la plage... c'était trooooooooooop bien !!!
Par contre le retour à la réalité est dur dur !! c'est quoi ce froid de dingue à Paris ???? 11° soit dix de moins ???? Déjà qu'on a pas eu d'été, on pourrait pas aussi ne pas avoir d'hiver ?
L'une des forces de l'iphone réside dans son écran tactile de très bonne qualité (bon, il résiste moyennement à la clé à molette mais en usage moins extrême il devrait mieux tenir le choc). Néanmoins, un écran tactile suppose forcément des traces de doigts ! impensables pour les pédégeekobranchouilles parisiens ! (et je sais que vous en connaissez sûrement...) heureusement, Matorif a pensé à vous et vous propose les premières capotes pour iphone ! vous pourrez désormais être aussi tactile que vous voulez...

Et encore, c’est bien cher payé ! Dire que je n’ai pas adoré le film est un euphémisme. Que penser d’une histoire sans intrigue ? J’avais eu la même impression lorsque j’ai lu le livre éponyme qui sert de base au film. Je ne l’avais pas terminé ce qui est plutôt rare chez moi. Essayons d’en résumer le propos : un publicitaire puissant (octave pseudonyme de Frédéric Beigbeder) et complètement névrosé dépeint un tableau au vitriole de son univers professionnel où se mélangent allègrement luttes de pouvoirs, sexe et drogues. Le cynisme récurrent nous rend incapable de nous attacher à ce héros qui de fait paraît particulièrement antipathique voire pitoyable.
Deux des livres reçus à mon anniversaire sont du même auteur : Stephen Fry. J'avais déjà lu quelques années auparavant Mensonges, Mensonges que j'avais acheté en grande partie parce que la couverture représentait un homme nu assis avec juste une cravatte masquant son sexe et une paire de lunettes - argument marketing pitoyable - j'ai été puni puisque j'ai moyennent apprécié l'ouvrage trop obscure. Je n'aime pas lire un livre pour me faire balader par l'auteur avec l'impression qu'il se fout de moi. J'ai donc commencé l'île du Dr. Mallo avec une certaine appréhension. Le titre m'interpelait car il faisait évidemment référence à l'île du Dr. Moreau que j'avais lu au collège et dont l'univers fantastique m'avait beaucoup plu à l'époque. Ici, il est question d'un jeune homme qui a tout pour lui : il est beau, intelligent, doit intégrer une prestigieuse université anglaise, a une petite amie qui l'aime et qu'il aime... Mais cette perfection agace ses "amis" qui lui jouent un tour pour se venger. Seulement, la plaisanterie prend une dimension bien plus tragique lorsque différentes machinations politiques s'imbriquent
entre elles. Exilé, notre jeune héros apprendra dans la douleur à perdre sa naïveté et reviendra tel le comte de Monté Christo se venger de ses bourreaux avec une application effrayante. Sans être "à fond" je dois avouer m'être bien laissé prendre au jeu de la spirale infernale où tout va de mal en pis, les événements s'enchaînant trop vite pour le héros qui ne comprend pas ce qui lui arrive. J'avais envie de le secouer, lui dire de réagir au lieu de subir (note pour plus tard : inutile de parler à son livre... on va encore me prendre pour un taré...), et son attitude implacable dans la vengeance quelques années plus tard m'a fasciné.
L'hippopotame m'a au contraire transporté dans un univers radicalement différent. Je quittais un homme autrefois candide épris de vengeance, pour retrouver un poète en déclin, vieillissant, cynique, lubrique et pourtant incroyablement attachant. Après une présentation rapide de notre héros l'intrigue se pose à la faveur d'une rencontre dans un bar. Une jeune cousine lui demande d'enquêter sur différents membres de sa famille sans lui dire ce qu'il doit chercher. nous sommes donc aussi perdu que lui, à l'image d'un Hercule Poirot alcoolique - ce que personnellement je trouve beaucoup plus fun, j'ai toujours bien aimé les anti-héros - Fry se débrouille toujours pour introduire un soupçon d'érotisme à ses livres qui parvient à titiller le lecteur. Là encore il y parvient sans problème d'une manière peu banale, mais je vous laisserai le soin de le découvrir par vous même... L'intrigue est bien menée et nous permet d'échafauder différentes théories en suivant le raisonnement de notre héros, parfois essayant de le devancer, parfois complètement ahuri par ses déductions. Les courriers qu'il envoie à sa cousine permettent de faire le point régulièrement, regrouper les infos afin de repartir en tenant compte des faits et non des certitudes. La résolution me paraît en revanche vraiment farfelue et laisse le lecteur un peu pantois. Il se produit au zénith de Paris le premier novembre. Si ça tente quelqu'un...
Le blog d'un homo parisien, entre spleen et idéal,
rêves et désillusions, humour et bonne humeur !
La maison accepte
remarques, gueulantes et déclarations d'amour (!!). Prenez votre plus belle
plume et envoyez un petit mail à matorif@gmail.com (réponse
assurée aux choupinous, pour les autres on verra si j'ai le temps, alors
n'oubliez pas la photo en pièce jointe ;-) )