Matorif

"Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles"

samedi 29 décembre 2007

Mon incroyable Noël 1/2

Chaque histoire a sa genèse, son prequel je vais donc vous la conter. Asseyez vous confortablement au coin du feu : Matorif entre en scène lors d'une après-soirée de Noël un peu difficile :


Je me réveille avec une boule dans la gorge. Je reconnecte péniblement mes neurones (il ne faut JAMAIS bousculer un blond le matin...). Quelles pourraient être les raisons de cette sensation désagréable ? Un amant qui m'aurait éconduit me faisant pleurer toute la nuit ? naaaaan ! j'ai décidé d'arrêter (méga mensonge). Soyons davantage pragmatique : J'ai simplement beaucoup trop bu à la soirée de noël de ma BDGN*. Une soirée latino (en décembre... je ne cherche pas à comprendre...) placée sous le signe du mojito et de la caihpirina. J'essaie de me lever tant bien que mal, la bouche pâteuse, je me sers un verre d'eau et découvre les vertus revigorantes de cette substance comme si je n'en avais jamais bu (je suis sûr que ça vous est déjà arrivé!)


Je me rends compte que je n'ai pas fait ma valise pour les vacances, que je suis déjà en retard pour aller au taff... et que je n'ai absolument pas la force de me presser... ça promet ! J'arrive en retard, avec ma valise, persuadé d'avoir pris mon maillot de bains pour aller au ski tellement je suis fracassé. Les gens parlent fort dans le métro ! Mes oreilles !


L'avantage des soirées entre collègues est que le lendemain nous sommes tous plus ou moins dans le même état. Mon cas précis pencherait davantage pour le plus que le moins... Et en croisant certains visages je me rappelle de conversations. Avec mon boss, ça va j'ai assuré, en revanche avec ce charmant collègue, j'ai comme un vague souvenir de m'entendre dire un truc genre "j'adore sucer..." (il me semble qu'il m'a répondu la même chose...), et je vous passe les détails de la conversation actif/passif dans le couple (c'est un collègue gay vous l'aurez compris).


J'ai un nombre incroyable de choses à faire avant de pouvoir enfin quitter la capitale, seulement mon cerveau reste désespérément au point mort, incapable de former le moindre raisonnement logique. Je parviens néanmoins à partir à l'heure pour mon train qui lui évidemment est en retard.

To be continued...


* BDGN : boîte de gros nazes (copyright MarcelD)

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Comment t'as échappé au procès! Quand j'ai lu BDGN!!! J'ai hurlééééé ! :o)

matorif a dit…

@ marcelD : mais non, tu es copyrighté !! tu viendras pas me casser la figure hein ?